J.S. Held publie ses perspectives sur les risques et les opportunités qui devraient avoir un impact sur les organisations en 2025
En savoir plusLes spores de moisissures sont présentes pratiquement partout, à l'intérieur comme à l'extérieur. Nous sommes exposés aux moisissures chaque jour et dans tout environnement. Le développement potentiel de la moisissure néfaste pour la qualité de l'air intérieur est un problème commun après la remédiation à l'infiltration d'eau et/ou les réclamations relatives aux effets potentiellement néfastes des environnements intérieurs. Pour réaliser une évaluation adéquate, il est nécessaire de bien comprendre les moisissures, leurs effets potentiels néfastes sur la santé et les stratégies d'enquête et d'échantillonnage efficaces. Ce livre blanc est destiné aux personnes qui disposent d'une connaissance de base de l'hygiène industrielle. Il fournit un aperçu du lien entre les moisissures en suspension et les maladies chez l'homme, et il aborde la mesure de la moisissure à l'intérieur.
La moisissure a trois effets principaux reconnus sur la santé de l'homme : allergies, infection et toxicité. Un ou plusieurs de ces effets peuvent entraîner une sensation d'irritation, que certains scientifiques répertorient en tant qu'effet supplémentaire. [1]
Allergies
En général, l'exposition à l'intérieur en milieu résidentiel est moins pertinente que l'exposition à l'extérieur en termes d'allergies et d'effets. [1] Les allergies constituent, de loin, le problème le plus important à la maison et au travail. Les moisissures sont des allergènes en suspension courants et importants, tout comme le gazon, le pollen et les squames d'animaux de compagnie. Pour qu'une réaction allergique aux spores de moisissures en suspension se produise, il faut qu'un individu soit allergique au type de moisissure inspirée et que la quantité de spores soit assez importante pour engendrer une réaction. La réponse à ces allergènes est similaire au rhume des foins et entraîne des symptômes comparables. Les symptômes d'allergie similaires à ceux du « rhume des foins » ne persistent pas après l'exposition aux allergènes. L'aggravation en asthme peut se produire chez les personnes sensibles aux moisissures. Les personnes qui habitent dans un milieu résidentiel humide ne souffrent pas de plus d'allergies que les personnes qui n'habitent pas dans un milieu résidentiel humide. [2, 3]
Infection
Les moisissures en suspension sont rarement la cause d'infections chez les personnes qui possèdent un système immunitaire intact. Le principal problème se retrouve en milieu hospitalier, où les patients prennent des médicaments immunosuppresseurs ou durant les opérations chirurgicales. Les infections superficielles causées par les moisissures sont faciles à traiter et se résolvent généralement sans complications. Les infections des tissus inférieurs sont rares et doivent être traitées avec des médicaments antifongiques. [4]
Les moisissures qui peuvent causer des infections chez les personnes qui possèdent un système immunitaire non affaibli peuvent pénétrer à l'intérieur via l'air extérieur, mais elles ne se développent et ne se propagent normalement pas à l'intérieur. Étant donné que les spores de moisissures sont présentes pratiquement partout, il n'est pas possible d'empêcher l'exposition aux moisissures des personnes au système immunitaire affaibli en dehors des unités d'isolement à l'hôpital. [1]
Toxicité
Les éléments chimiques des moisissures capables d'entraîner des effets toxiques sont appelés les mycotoxines. Les moisissures qui se propagent à l'intérieur peuvent, dans certaines conditions, produire des mycotoxines durant certaines étapes de leur cycle de vie uniquement. [5] La présence de moisissure n'indique pas la présence de mycotoxines et ne remplace pas la mesure des mycotoxines.
Les effets néfastes des mycotoxines sur la santé de l'homme causés par l'ingestion d'aliments contaminés sont connus depuis plusieurs siècles. Bien que beaucoup de gens pensent souvent que la moisissure à l'intérieur cause des « symptômes liés au bâtiment », toute relation causale entre les mycotoxines en milieu intérieur et des effets sur la santé de l'homme est faible et non fondée, malgré plusieurs décennies de recherches et d'articles publiés sur le sujet. [1, 6, 7, 8]
L'empoisonnement par des mycotoxines de spores de moisissures ou de fragments inspirés à l'intérieur ne devrait pas se produire en raison de la taille des spores de moisissures et fragments et des doses réduites. L'empoisonnement par des mycotoxines suite à l'inhalation de spores ou de fragments n'a pas été prouvé. [1, 6, 7, 9]
Les laboratoires qui effectuent des essais de détection de mycotoxines dans les échantillons biologiques, comme l'urine, selon la technologie ELISA, ne sont pas approuvé et validés pour des usages cliniques. Même s'ils l'étaient, la présence de mycotoxines dans les échantillons d'urine n'ont aucune valeur toxicologique car les mycotoxines sont présentes dans divers aliments et chez tout un chacun via les sources alimentaires. [10]
Depuis février 2015, le CDC déconseille les tests biologiques chez les personnes qui travaillent ou résident dans un bâtiment endommagé par l'eau ainsi que l'échantillonnage de routine pour détecter la moisissure à l'intérieur. [11]
L'inspection visuelle, parfois complétée par la prise d'un échantillon de surface et d'air, constitue une méthode adéquate pour évaluer la présence de quantités extraordinaires de moisissures en milieu intérieur.
Échantillon de surface
La présence de spores de moisissures ou de moisissures sur les surfaces peut être détectée par les techniques d'échantillonnage de surface, comme les échantillons par ruban adhésif. Ces techniques permettent de distinguer la moisissure des taches, de la poussière, de la saleté, de la suie, de l'efflorescence, des déjections d'insectes et des algues. Les spores de moisissures collectées sur les surfaces sont généralement analysées directement au microscope (analyse directe d'échantillon non-viable sans culture) ou peuvent être mises en culture sur gélose nutritive afin d'examiner les colonies de moisissures qui s'y développent (analyse d'échantillon de culture viable). Les résultats des échantillons de surface sont analysés par différents laboratoires qui préparent leur propre rapport. Les résultats des examens directs peuvent être exprimés en spores par unité d'échantillon (spores/cm2) ou en « croissance de moisissure » ou « capture normale ».
Les échantillons de surface ne peuvent pas être utilisés pour estimer les niveaux de spores en suspension et ne servent donc pas à estimer l'exposition à l'inhalation potentielle. Les méthodes de prise d'échantillons de surface ne peuvent pas être chiffrées de manière fiable car les techniques de collecte et d'analyse ne sont ni validées, ni normalisées. Les résultats des échantillons de surface ne peuvent pas être considérés comme étant représentatifs de l'ensemble de l'environnement testé sans informations supplémentaires.
L'Agence de protection de l'environnement américaine (EPA) a expérimenté en réalisant l'analyse de la réaction en chaîne de la polymérase quantitative propre aux moisissures (Mold-Specific Quantitative Polymerase Chain Reaction ou MSWPCR) des échantillons de poussières des foyers et a proposé l'Indice de moisissures relatives dans l'environnement (ERMI) comme méthode pour évaluer le potentiel d'un milieu intérieur humide en matière d'effets néfastes sur la santé de l'homme. L'analyse MSQPCR est considérée comme un « outil de recherche » par l'EPA, elle n'est pas destinée à l'usage public et, en dépit de plusieurs décennies de recherches, elle n'a pas été validée pour l'usage en milieu intérieur. L'EPA ne conseille pas d'utiliser l'analyse MSQPCR en contexte public. [12]
L'indice ERMI comprend la détermination de l'ADN des moisissures présentes dans les poussières. La quantité d'« équivalents de spores » d'ADN (déterminée par analyse MSQPCR) n'est pas liée au nombre de spores ; les résultats n'indiquent donc pas la quantité de spores présentes aux hygiénistes industriels, et ils ne correspondent pas à la présence de moisissures. Les résultats ne donnent pas d'informations sur l'état de la zone testée ; ils n'indiquent pas la présence de moisissures sur la surface de l'échantillon ou des environs, ni la présence de dégâts causés par l'eau, et ils ne reflètent pas la possible concentration de spores de moisissure en suspension. L'indice ERMI ne peut pas être utilisé pour déterminer si un nettoyage est nécessaire ou si les effets néfastes dus à la moisissure sont probables.
Échantillon d'air
Les spores de moisissures sont omniprésentes dans l'air. Les méthodes de prise d'échantillon d'air sont utilisées pour estimer les concentrations en suspension et l'exposition potentielle à l'inhalation de spores et particules de moisissures. La prise d'échantillons d'air se produit sur une courte période et un seul échantillon ne reflète pas la quantité de spores présentes sur de longues périodes. Il est dès lors pratiquement inutile de comparer les concentrations intérieure et extérieure de spores de moisissures en suspension sur base d'un seul échantillon d'air pour évaluer l'exposition.
L'une des méthodes courantes pour mesurer le nombre de spores en suspension, qu'elles soient capables de se développer ou non, consiste à aspirer un volume déterminé d'air sur une lamelle recouverte d'une substance collante (piège à spores) et à ensuite analyser la lamelle au microscope (analyse directe d'échantillon non-viable sans culture). Les résultats sont exprimés en spores par mètre cube d'air (spores/m3).
L'une des méthodes courantes pour mesurer le nombre de spores « viables » en suspension, ou capables de se développer, consiste à aspirer un volume déterminé d'air sur une lamelle recouverte d'un substrat de culture (comme la gélose) et à ensuite analyser la lamelle au microscope pour y détecter les colonies de moisissures (analyse d'échantillon de culture viable). Les résultats sont exprimés en unités formant les colonies (UFC) par mètre cube d'air (UFC/m3).
Les mesures de la moisissure ont-elles déjà su prédire la présence ou le potentiel de maladie ?
Il n'a pas été prouvé que les mesures de tous types de moisissures dans l'environnement puissent prédire la présence ou le potentiel d'effets néfastes sur la santé à l'intérieur. L'ampleur de la contamination de moisissure est évaluée de manière optimale par une inspection visuelle, complétée par un échantillon de surface si nécessaire.
Exigences juridiques en matière d'inspection de la moisissure résidentielle et de remédiation
L'inspection et l'échantillonnage de la moisissure se font habituellement par des hygiénistes industriels, des experts de l'environnement ou des personnes formées et certifiées par divers programmes volontaires disponibles au niveau national. Le permis relatif à la moisissure est obligatoire pour l'inspection et la remédiation dans plusieurs États. Veuillez contacter les auteurs de ce livre blanc concernant les exigences en vigueur chez vous et/ou dans votre cas.
Nous souhaitons remercier Bruce Kelman, Ph.D., DABT, ATS, ERT, Allison Stock, Ph.D., MPH, M.S., Nadia Moore. , Ph.D., DABT, ERT, CIH, Mike Krause, M.S., CIH, Clara Chan, M.S., DABT et Coreen Robbins, Ph. D., MHS, CIH, dont les connaissances et l'expertise ont apporté une contribution significative à cette recherche.
Le Dr Bruce Kelman est vice-président et toxicologue principal au sein du cabinet environnement, santé et sécurité de J.S. Held. Il a évalué de nombreuses déclarations de dommages corporels et de répercussions sur la santé causés par des produits chimiques et des médicaments, et a présenté divers scénarios de risques pour la santé à des décideurs, des organismes de réglementation gouvernementaux, des groupes de citoyens et des particuliers. Le Dr Kelman interprète aussi régulièrement les tests standard et non standard relatifs aux stupéfiants, notamment l'éthanol, les opioïdes, la méthamphétamine, la cocaïne et le cannabis. Bruce a de l'expérience avec les agents chimiques et physiques (y compris l'amiante, les pesticides, les solvants, les vapeurs, les métaux, les agents microbiens et les champs électriques et magnétiques), les scénarios d'exposition (y compris les scénarios environnementaux, professionnels, résidentiels et cliniques) et les voies d'exposition (y compris l'inhalation, la voie orale et percutanée).
Vous pouvez contacter le Dr Kelman à l'adresse [e-mail protégé] ou au +1 425 207 4366.
Le Dr Allison Stock est vice-présidente du département environnement, santé et sécurité de J.S. Held. Elle se spécialise dans l'évaluation des risques pour la santé humaine en combinant les données toxicologiques et épidémiologiques. Elle possède une expertise dans les domaines suivants : produits pétrochimiques ; agents pharmaceutiques ; permis environnementaux ; transfert de propriété ; évaluations des incidences environnementales, sociales et sanitaires ; toxicologie par inhalation ; toxicologie rénale ; exposition aux drogues et à l'alcool ; évaluation des risques toxicologiques et épidémiologiques ; maladies transmissibles et d'origine alimentaire comme les infections à Legionella, Salmonellose et Pseudomonas ; évaluations rapides des besoins ; intervention d'urgence ; surveillance de l'air ambiant et intérieur ; plans de santé et de sécurité au travail ; et communications avec les parties prenantes.
Vous pouvez contacter le Dr Stock à l'adresse [e-mail protégé] ou au +1 504 420 1896.
Dr. Nadia Moore est vice-présidente et toxicologue principale au sein du cabinet environnement, santé et sécurité de J.S. Held. Son expérience couvre les agents physiques et chimiques (amiante, pesticides, solvants, vapeurs, particules, métaux et agents microbiens), différents scénarios d'exposition (environnement, lieu de travail et domicile) et toutes les voies d'exposition (inhalation, voie orale/eau à boire et voie transdermique). Le travail de Nadia consiste également à déterminer si l'exposition à un agent chimique ou physique à causé des blessures, à déterminer les niveaux d'impureté acceptables des produits de consommation et à analyser, sur la base du poids de la preuve, des données scientifiques historiques pour évaluer les conclusions d'aujourd'hui.
Vous pouvez contacter le Dr Moore à l'adresse [e-mail protégé] ou au +1 425 207 4372.
Clara Chan est cheffe de projet et toxicologue principale au sein du cabinet environnement, santé et sécurité de J.S. Held. Clara travaille dans le domaine de la toxicologie depuis 2003. Elle évalue les toxicités chimiques et leurs effets sur la santé. Elle fournit un soutien technique et agit à titre de consultante pour des projets dans les domaines de la toxicologie, de l'analyse des risques, des litiges relatifs aux blessures corporelles, de la sécurité des produits de consommation et de l'évaluation de la qualité de l'air intérieur/moisissures. Elle a apporté son aide à des clients pour la rédaction de fiches de données de sécurité et la détermination des limites d'exposition professionnelle et des limites d'exposition journalière acceptables. Elle a encadré des essais en laboratoire de produits de consommation parrainés par des clients en Amérique du Nord et à Hong Kong. Elle a de l'expérience dans le domaine de l'analyse et de l'interprétation des résultats d'essais de sécurité sur les produits de consommation.
Vous pouvez contacter Clara à l'adresse [e-mail protégé] ou au +1 425 207 4352.
Michael Krause est chef de projet au sein du cabinet environnement, santé et sécurité de J.S Held. Mike a effectué des évaluations d'hygiène industrielle (y compris le suivi et la modélisation de l'exposition des travailleurs). Il a dispensé des recommandations de contrôle et des formations liées à la conformité réglementaire à des employeurs, et ce, pour répondre aux préoccupations des employés et de minimiser les risques. Il a fourni des services de conseils à des industries lourdes telles que l'aérospatiale, l'industrie métallurgique et l'industrie du bois. Sa clientèle compte aussi des assureurs, des assurés et des courtiers, des écoles, des propriétaires fonciers, des gestionnaires d'immeubles, des entrepreneurs en construction et des organismes publics. Mike est particulièrement spécialisé dans l'évaluation de l'exposition au chrome, à l'amiante, au plomb et aux solvants ; dans la réalisation de tests acoustiques dans différents types de lieu de travail ; dans l'élaboration de fiches techniques de sécurité pour les clients de l'industrie pharmaceutique ; dans l'évaluation de l'utilisation d'équipement de protection (masques à gaz, protections acoustiques, gants) et dans l'évaluation de problèmes relatifs à la qualité de l'air intérieur, à la moisissure, à E. coli, aux légionelles et à la pneumopathie d'hypersensibilité.
Mike peut être contacté à l'adresse [e-mail protégé] ou au +1 425 207 4370.
1. Bush, R.K., Portnoy, J.M., Saxon, A., Terr, A.I. et Wood, R.A. The medical effects of mold exposure. Position paper of the American Academy of Allergy, Asthma and Immunology. J Allergy Clin Immunol. 117(2):326-33, 2006.
2. Wiszniewska, M., Walusiak-Skorupa, J., Gutarowska, B., Krakowiak, A. et Palczynski, C. Is the risk of allergic hypersensitivity to fungi increased by indoor exposure to moulds? Int J Occup Med Environ Health. 22(4):343-54, 2009.
3. Rabito, F.A., Perry, S., Davis, W.E., Yau, C.L. et Levetin, E. The relationship between mold exposure and allergic response in post-Katrina New Orleans. J Allergy. 2010(510380):doi:10.1155/2010/510380, 2010.
4. Stites, D.P., Terr, A.I. et Parslow, T.G. Basic & Clinical Immunology. 8e éd. Norwalk, CT : Appleton & Lange. 1994., p. 579 et 706.
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10. Council for Agricultural Science and Technology (CAST). Mycotoxins: Risks in Plant, Animal, and Human Systems. Rapport n° 139. Ames, IA. 2003 ; Grovel, O., Pouchus, Y.F. et Verbist, J.F. Accumulation of gliotoxin, a cytotoxic mycotoxin from Aspergillus fumigatus, in blue mussel (Mytilus edulis). Toxicon. 42(3):297-300, 2003 ; Pena, G.A., Pereyra, C.M., Armando, M.R., et al. Aspergillus fumigatus toxicity and gliotoxin levels in feedstuff for domestic animals and pets in Argentina. Lett Appl Microbiol. 50(1):77-81, 2010 ; Richard, E., Heutte, N., Sage, L., et al. Toxigenic fungi and mycotoxins in mature corn silage. Food Chem Toxicol. 45(12):2420-25, 2007.
11. Kawamoto, M. et Page, E. Use of invalidated urine mycotoxin tests for the clinical diagnosis of illness - États-Unis, 2014. MMWR. 64(6):157-58, 2015.
12. EPA. (2013). Public may be making indoor mold cleanup decisions based on EPA tool developed only for research applications, 13-P-0356. EPA.
La thermographie infrarouge est le processus permettant d'acquérir et d'analyser des informations d'image thermique capturées par un dispositif d'imagerie thermique non destructif, souvent appelé caméra infrarouge ou caméra IR. Ces appareils détectent l'énergie thermique...