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Cannabis et THC : comprendre les effets et la responsabilité

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Introduction

La légalisation du cannabis dans certains États (marijuana) pour un usage médical ou récréatif a soulevé de nombreuses questions à propos de l'exposition et du dépistage des drogues (par exemple, ce qui constitue des tests de cannabis positifs et comment les résultats sont liés à la déficience). Les réponses à ces questions s'appliquent :

  1. Aux inspecteurs de site, dont les chances d'être en contact avec du cannabis de manière fortuite, ont grandi, la possession et la culture (au niveau d'individus et des opérations commerciales) étant devenues légales
  2. Les assureurs évaluant l'application des politiques associées aux plantations et aux dispensaires pour la couverture financière en termes de responsabilité pour les dirigeants et/ou les employés
  3. Attribution de la responsabilité individuelle dans les dossiers judiciaires

La connaissance du composé psychoactif principal du cannabis (tétrahydrocannabinol ou THC) est essentielle pour comprendre ces problématiques, notamment ceux liés à l'intoxication et/ou la détection biologique.

Le cannabis contient plus de 421 composés chimiques, dont un groupe de plus de 60 composés bioactifs (appelée cannabinoïdes). Les cannabinoïdes sous la forme de plants de cannabis bruts (non traités) incluent l'acide tétrahydrocannabinolique (THCA) qui, avec la chaleur, le temps et/ou la lumière se transforme en THC, le principal composé psychoactif des produits à base de cannabis.

Ce livre blanc apporte une connaissance générale sur le THC, notamment comment il est absorbé, métabolisé et distribué dans l'organisme humain après une exposition orale et par inhalation et la relation entre l'intoxication et la détection dans le sang et l'urine. Ce document vise à fournir un aperçu global, il n'est pas par nature exhaustif et les lecteurs sont invités à contacter les toxicologues de J.S. Held concernant des questions ou situations spécifiques.

Diminution des capacités liée au cannabis et réglementation

Les réglementations relatives au cannabis sont complexes : bien que certains États aient légalisé son usage médical ou récréatif, il reste illégal au niveau fédéral. Aussi, un test positif au THC (présence de THC ou de métabolites dans l'urine), quel que soit la potentielle diminution des capacités, est suffisant pour démettre des employés fédéraux de leurs fonctions officielles.

Les réglementations concernant la conduite sous emprise dans les États ayant légalisé l'usage du THC sont généralement basées sur les limites légales (ou la concentration qui définit légalement le minimum pour un statut de déficience défini sur le plan juridique). Par exemple, Washington a imposé des limites légales en cas de conduite sous emprise à hauteur de 5 ng/mL dans le sang total.

Les limites légales ont été établies sur la base de corrélations générales entre les concentrations de THC élevées dans le sang et les périodes de déficience suivant l'usage de cannabis. Cependant, comme décrit ci-dessous, les niveaux circulatoires ne sont pas bien corrélés avec l'intoxication et il a été observé chez des utilisateurs chroniques lourds des niveaux de THC élevés plusieurs jours après la dernière consommation. En raison de la relation complexe entre la détection et la déficience (et pour éviter des conclusions erronées basées sur des niveaux de sang élevés en l'absence de déficience), les recommandations chez les employés non fédéraux, établies par l'American College of Occupational and Environmental Medicine (ACOEM, Collège américain de médecine du travail et de l'environnement) prévoient des tests des employés pour déficience potentielle liée au THC, uniquement après que d'autres signaux médicaux de déficience aiguë ont été observés chez un employé. L'ACOEM recommande de conclure qu'un(e) employé(e) présentant des signes médicaux de déficience, a subi une déficience aiguë liée à l'usage de cannabis lorsque des examens postérieurs affichent des niveaux de plasma de 5 ng/mL ou plus de THC (ou THC plus THC-OH).

La réaction humaine - Consécutive à une exposition au THC

Une exposition au THC peut induire des effets psychologiques et psychoactifs (détaillés dans le Tableau 1). La déficience est associée à un manque de coordination, à une force musculaire et des raideurs dans les mains ; léthargie ; sédation ; incapacité à se concentrer ; activité psychomotrice réduite ; difficultés d'élocution ; et temps de réaction plus long.

 
Tableau 1 - Effets aigus (à court terme) suivant la prise de THC
Tableau 1 - Effets aigus (à court terme) suivant la prise de THC

La structure chimique du THC fait qu'il est hydrophobe (« peur de l'eau » et lipophile (« attiré par la graisse »), ce qui signifie qu'en entrant dans l'organisme, sa structure chimique facilite la distribution sélective/préférentielle au niveau de la graisse. Autrement dit, la graisse stockée dans le corps de l'être humain peut être considérée comme une éponge à THC, absorbant le THC de manière sélective dans le sang au moment où ce dernier circule dans le sang de l'organisme, qui est un produit principalement aqueux.

Après une exposition importante, l'élimination du THC du sang intervient soit sous la forme d'une absorption par la graisse corporelle soit via une métabolisation par le foie. Sur le plan fonctionnel, cela signifie que les organes adipeux (comme le cerveau) auront une plus forte concentration de THC au moment où les niveaux de circulation déclinent, ce qui contribue à un phénomène où les effets psychoactifs les plus élevés interviennent après le pic des niveaux sanguins (c'est-à-dire quand les niveaux sanguins déclinent). De plus, cela signifie que les personnes ayant un stock de graisses plus élevé (personnes avec un indice de masse corporelle ou IMC élevé) ont un profil/une durée d'élimination du sang après exposition différente des individus plus maigres.

La rétention du THC dans le cerveau est responsable des effets psychoactifs aigus et de l'intoxication consécutifs à une exposition. La durée d'une intoxication au THC dépend de la dose consommée, du taux d'absorption, du taux métabolique et de la durée de la perte de sensibilité aux actions pharmacologiques du THC. Nous aidons les clients à comprendre les complexités associées aux calendriers d'utilisation, d'intoxication, de dépistages et les difficultés soulevées par l'interprétation de ces relations en vue d'émettre des conclusions concernant les effets potentiels sur la santé, le statut des tests et/ou le statut d'intoxication.

Le THC est métabolisé dans le foie sous la forme d'une série de composés solubles dans l'eau (voir Figure 1), conjuguant enfin le métabolite THC-COOH avec l'acide glucoronique, qui est excrété dans l'urine. Le métabolisme rapide des composés psychoactifs (THC et 11-OH-THC) sous la forme du THC-COOH non psychoactif moins rapidement métabolisé peut avoir pour résultat une accumulation apparente de THC-COOH non psychoactif dans le sang, consécutif à l'exposition au THC.

 
Figure 1 - métabolisme THC (adapté de Musshoff et Madea, 2006)
Figure 1 - métabolisme THC (adapté de Musshoff et Madea, 2006)

L'absorption sélective par la graisse du THC résulte en un réservoir post-utilisation dans la graisse qui se diffuse lentement après la fin des effets psychoactifs (la petite dose libérée au fil du temps n'est pas associée aux effets psychoactifs). Ceci vient du fait que sans nouvelle exposition au THC, le THC stocké dans la graisse est libérée lentement dans le flux sanguin où il est métabolisé et excrété par l'urine. La lente libération du THC stocké dans la graisse est un profil d'excrétion urinaire étendu, permettant de détecter les métabolites de THC dans l'urine pendant des jours (voire des mois), après la dernière prise, même si l'individu ne montre pas d'altération de ses capacités au moment du dépistage. Les durées de détection dans l'urine varient d'abord en fonction de la dose consommée et de l'historique de consommation (usage unique ou consommation chronique/quotidienne), mais aussi selon d'autres facteurs comme la masse corporelle, la perte de poids et l'exercice. De plus, des rapports anecdotiques ont associé des tests d'urine positifs au THC chez des utilisateurs ayant subi d'importantes pertes de poids après de longues périodes d'abstinence.

Différences clés entre inhalation et exposition orale

Comme le montre la Figure 2, les délais des effets sont différents entre l'exposition à une inhalation par rapport à une exposition orale (c.-à-d. ingestion de comestibles). L'inhalation est associée à des effets beaucoup plus rapides, d'abord parce que le THC est rapidement absorbé dans le sang par le biais de l'air libéré dans les poumons, et le sang chargé en THC est pompé directement dans le cerveau, qui est le centre d'action pour les effets psychoactifs qui en résultent. Le profil d'absorption rapide associé à l'inhalation est aussi associé à une diminution plus rapide dans la concentration sanguine par rapport aux expositions orales. À l'inverse, l'ingestion de comestibles contenant du THC libère du THC dans le tractus gastro-intestinal (GI), où le taux d'absorption dans le flux sanguin est généralement plus lent que les expositions par inhalation et dépend des autres comestibles consommés. La fonction du tractus GI est d'absorber les nutriments et celle du foie est de métaboliser ces nutriments ingérés et le sang contenant du THC provenant du tractus GI est pompé directement vers le foie, qui le métabolise. Cela signifie qu'une partie du THC ingéré est absorbé, mais métabolisé avant d'atteindre la circulation systémique et entre ensuite dans le cerveau. L'absorption plus lente depuis le tractus GI et le métabolisme immédiat entraînent une manifestation plus tardive des effets psychoactifs par rapport à l'inhalation.

 
Figure 2 - Durées des effets psychoactifs suivant une inhalation ou une ingestion de THC
Figure 2 - Durées des effets psychoactifs suivant une inhalation ou une ingestion de THC

Difficultés pour mesurer l'exposition au THC

La nature lipophile du THC complique les conclusions en termes de durée d'exposition et d'intoxication sur les échantillons biologiques. Les connaissances concernant le type d'analyse (urine versus sang), le type de méthode (dépistage versus confirmation), substances analysées (THC, métabolites psychoactifs et/ou métabolites non psychoactifs), le timing de l'analyse comparé à l'événement ou l'exposition supposé(e) et l'historique de consommation individuel (THC et autres composés potentiellement intrusifs) sont essentielles avant l'émission de conclusions relatives aux dépistages et aux délais pour intoxication et/ou consommation.

Les dépistages urinaires sont sujets aux faux-positifs (un test positif apparaît même en cas d'absence de THC) avec des kits de dépistage bon marché, car ils proposent une mesure des métabolites du THC basée sur une méthodologie d'immuno-essais, qui peut générer des faux-positifs lorsque l'urine contient des médicaments analgésiques non stéroïdaux (ibuprofène ou naproxène ), de l'éfavirenz (traitement VIH), de la prométhazine (anti-nauséeux) ou de la riboflavine (vitamine B2). En général, les échantillons d'urine positifs avec des méthodes d'immuno-essais sont réanalysés avec la méthode Chromatographie en phase gazeuse-spectrométrie de masse (GC/MS), qui propose une détection sélective et précise des métabolites THC. Afin de garantir la précision des tests urinaires positifs, la meilleure pratique consiste à s'assurer de la confirmation via la méthode GC/MS.

La collecte d'un échantillon sanguin est plus invasive que le prélèvement urinaire : cependant, le sang (ou plasma ou sérum) analysé avec la méthode chromatographie en phase gazeuse-spectrométrie de masse mesure précisément le volume de THC et métabolites THC. Des mesures positives au THC dans le sang coïncident généralement avec une exposition récente, même si certaines recherches suggèrent que des utilisateurs chroniques puissent présenter un taux de THC détectable dans le sang pendant des jours après la dernière utilisation (Odell et al., 2015). Les conclusions concernant l'intoxication sont compliquées car les concentrations dans le sang atteignent des niveaux maximaux avant l'intoxication maximale (c'est-à-dire que les concentrations dans le sang déclinent au moment où la diminution des capacités est la plus importante ; voir Figure 3).

 
Figure 3 - Durée de concentration de THC dans le plasma, déficits de performance et pic subjectif (Compton, 2017)
Figure 3 - Durée de concentration de THC dans le plasma, déficits de performance et pic subjectif (Compton, 2017)

En raison de la présence possible de THC dans le sang après l'arrêt de l'altération des capacités, les directives publiées par l'American College of Occupational and Environmental Medicine (ACOEM) indiquent que le dépistage d'une potentielle altération des capacités au THC ne doit jamais être évalué de manière isolée. Le dépistage doit plutôt se limiter aux seules observations et documents associés aux signes de déficience définissables. Un panel de l'ACOEM a analysé les données associées aux niveaux de déficience et de plasma du THC, plus son métabolite actif 11-OH-THC chez des utilisateurs occasionnels par rapport à des utilisateurs chroniques et a ensuite catégorisé les niveaux de THC dans le plasma selon les déficiences potentielles. L'ACOEM en a conclu que les niveaux à partir de 0 à 2 ng/mL ne peuvent pas établir une déficience chez les utilisateurs occasionnels ou chroniques ; les niveaux à 2-5 ng/mL coïncident avec des utilisateurs occasionnels « probablement déficients » et des utilisateurs chroniques qui « peuvent être déficients » et les niveaux de plus de 5 ng/mL coïncident avec des utilisateurs occasionnels et chroniques « probablement déficients ». L'ACOEM a estimé qu'un niveau de sérum de 5 ng/mL ou plus de THC (la somme du THC et son métabolite actif 11-OH-THC) identifierait les individus les plus déficients au THC (quand ces individus ont documenté des signes physiques de déficience) (Philips et al., 2015). Ces directives peuvent être utilisées avec d'autres facteurs (p. ex. historique de consommation, délai depuis l'utilisation, etc.) pour comprendre l'applicabilité des résultats du test en termes de responsabilité, de litige ou d'autres questions.

Les États ayant légalisé la consommation de cannabis ont adopté une approche similaire (p. ex. un seuil ou une concentration de lois) pour définir la conduite sous l'influence du cannabis. Par exemple, les automobilistes de l'État de Washington sont coupables de conduite sous l'influence du cannabis en cas de niveaux détectables de THC dans le sang entier supérieur à 5 ng/mL (Revised Code of Washington RCW 46.61.502(1)(b)). Ainsi, un niveau sanguin supérieur à 5 ng/mL, qui correspond environ à 10 ng/mL dans le sérum ou le plasma, est le niveau présumé pour une conduite sous l'influence du cannabis lorsqu'il est accompagné de signes d'altération des capacités. Il est important de rappeler que même si les lois utilisent un seul chiffre (p. ex. 5 ng/mL dans le sang total) pour prendre en compte tous les dossiers, la valeur n'est pas directement liée à l'altération des capacités. Au lieu de cela, les niveaux des seuils du sang (ou plasma) ont été établis pour les niveaux qui correspondent à une exposition récente et une altération aiguë des capacités chez la plupart des utilisateurs ; certains gros consommateurs chroniques peuvent présenter des niveaux basiques dépassant les seuils en l'absence d'altération des capacités.

Tout comme la législation, les questions concernant les expositions involontaires ou concernant le lieu de travail, ainsi que les effets sur la santé et le statut des dépistages, continuent d'évoluer Les toxicologues experts travaillent avec des employés, des partenaires et d'autres parties pour évaluer, mesurer et apporter des réponses à ces questions, notamment par exemple, pour élaborer un niveau de connaissance général concernant l'exposition au THC, son utilisation et tester et évoluer à partir des valeurs de dépistage protectrices pour des situations spécifiques, comme la restauration d'une habitation ayant servi à des cultures clandestines.

Conclusion

Il existe des relations complexes pour les produits contenant du THC et (1) les délais d'intoxication subséquents et (2) la durée d'un test positif. Bien que la science tente encore de définir ces relations, les facteurs contribuant aux deux relations identifiées incluent à la fois la dose consommée et l'historique de consommation. Les itinéraires d'exposition jouent aussi un rôle (p. ex. inhalation ou orale) ainsi que les différences dans les taux d'absorption, les taux métaboliques, la masse corporelle, la perte de poids et l'exercice. Ce livre blanc décrit les relations complexes entre l'utilisation du THC, l'intoxication et la détection dans le sang et l'urine.

Les toxicologues de J.S. Held sont conscients et sont aux côtés de la science au regard des complexités associées aux délais de consommation, d'intoxication, de dépistage et les difficultés soulevées par l'interprétation de ces relations en vue d'émettre des conclusions concernant les effets potentiels sur la santé, le statut des tests et/ou le statut d'intoxication et ils peuvent aider à interpréter les résultats concernant la responsabilité, les litiges et d'autres questions.

Remerciements

Nous tenons à remercier Nadia Moore, Ph.D., DABT, ERT, dont les connaissances et l'expertise ont grandement contribué à cette recherche.

Dr. Nadia Moore est vice-présidente et toxicologue principale au sein du cabinet environnement, santé et sécurité de J.S. Held. Son expérience couvre les agents physiques et chimiques (amiante, pesticides, solvants, vapeurs, particules, métaux et agents microbiens), différents scénarios d'exposition (environnement, lieu de travail et domicile) et toutes les voies d'exposition (inhalation, voie orale/eau à boire et voie transdermique). Le travail de Nadia consiste également à déterminer si l'exposition à un agent chimique ou physique à causé des blessures, à déterminer les niveaux d'impureté acceptables des produits de consommation et à analyser, sur la base du poids de la preuve, des données scientifiques historiques pour évaluer les conclusions d'aujourd'hui.

Vous pouvez contacter le Dr Moore à l'adresse [e-mail protégé] ou au +1 425 207 4372.

Références

  • Compton, R. (Juillet 2017). La conduite avec des capacités affaiblies par la marijuana - Rapport du Congrès. (DOT HS 812 440).
    Washington, DC: National Highway Traffic Safety Administration.
  • Hoffman, R. S., Howland, M. A., Lewin, N. A., Nelson, L. S., et Goldfrank, L. R. (2015).
    Goldfrank's Toxicologic Emergencies, 10e édition. McGraw Hill Medical, New York.
  • Karch, S. B. (2006). Drug Abuse Handbook, 2 édition. CRC Press, Boca Raton, Fla.
  • Odell, M. S., Frei, M. Y., Gerostamoulos, D., Chu, M., et Lubman, D. I. (2015). Taux de cannabis résiduel dans le sang, l'urine et le liquide oral après une forte consommation de cannabis. Forensic Sci Int 249, 173-80.
  • Phillips, J. A., Holland, M. G., Baldwin, D. D., Meuleveld, L. G., Mueller, K. L., Perkison, B., Upfal, M. et Dreger, M. (2015). La marijuana sur le lieu de travail : conseils pour les professionnels de la santé au travail et les employeurs : Déclaration d'orientation conjointe de l'American Association of Occupational Health Nurses et de l'American College of Occupational and Environmental Medicine. J Occup Environ Med 57(4), 459-475.
  • Musshoff, F. et Madea, B. (2006). Examen des matrices biologiques (urine, sang, cheveux) comme indicateurs d'une consommation récente ou chronique du cannabis. Ther Drug Monit 28(2), 155-63.
  • Rosen, P., Marx, J. A., Hockberger, R. S., Walls, R.M., et Adams, J. (2006). Rosen's Emergency Medicine - Concepts and Clinical Practice, pp. 2411-18.
  • Washington State. (2020). Driving under the influence. Revised Code of Washington, RCW 46.61.502.
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